Cet après-midi, j’ai interrogé Ségolène Royal, ancienne ministre de l’Enseignement scolaire, sur le suivi des actions engagées pendant son mandat pour protéger les enfants. Elle a évoqué, avec émotion, les violences sexuelles signalées à l’époque et les mesures qu’elle avait alors prises. Mais une phrase interpelle : « Après, je ne sais pas ».
Qu’est-il advenu de ces priorités, une fois le ministère quitté ?