Nous menons ce travail avec intégrité, sérieux et responsabilité. Face à la souffrance des victimes, il n’y a pas de place pour les calculs politiques. Entendre sous serment les ministres, c’est notre rôle de parlementaires. Nous continuerons à le faire avec détermination.
En effet, ce qu’il y a de plus grave dans ces affaires, c’est le silence institutionnel. Des alertes ont été lancées, des plaintes déposées, des enseignants ont osé parler, mais la chaîne des responsabilités ne s’est pas mise en marche. Notre travail doit permettre que cela ne puisse plus jamais se reproduire.