Notre commission d’enquête sur les modalités du contrôle par l’État et la prévention des violences dans les établissements scolaires a déjà permis de faire bouger les lignes. Grâce aux auditions, aux témoignages et aux visites sur le terrain, nous avons pu dialoguer avec les administrations et renforcer le suivi des inspections. Le rapport sera voté le 25 juin à l’Assemblée nationale et présenté à Lille le 3 juillet.
Sur BFM Grand Lille, j’ai rappelé l’urgence d’agir dès les premiers signaux :
- Libérer la parole des élèves avec des adultes de confiance et des dispositifs comme les boîtes Papillons
- Mieux sanctionner avec un barème national clair
- Renforcer l’accompagnement psychiatrique pour les jeunes en grande détresse L’État doit être au rendez-vous.
Il n’existe pas de solution à zéro risque pour garantir la sécurité dans les écoles. Chaque établissement est différent, et il faut adapter les réponses en écoutant les chefs d’établissement : badgeuses, tourniquets, présence adulte renforcée…
Mais surtout, il est temps d’agir sur les réseaux sociaux. La banalisation de la violence en ligne touche les enfants de plus en plus jeunes.
Les socialistes ne se sont pas encore mis d’accord sur leur candidat pour Lille, quand moi je suis sur le terrain à Lille Hellemmes Lomme chaque jour. Place au débat et à la clarté des choix !
Je porte un projet pour Lille ancré dans l’action et la proximité. Avec les élus Faire Respirer Lille et nos 20 conseillers de quartier, nous sommes au travail depuis cinq ans. Le Breathe Café, ouvert chaque jour, les dimanches Sport Santé : autant d’initiatives concrètes pour écouter les Lillois.