Pour nos élèves, rappelons une évidence : « Il faut un contrôle de l’État juste partout » Public ou privé sous contrat : les programmes, le financement, le climat scolaire doivent être contrôlés avec la même exigence. C’est ce que nous avons porté lors de notre commission d’enquête à l’Assemblée. Aucun enfant ne choisit son école. L’État doit garantir pour tous un cadre sûr, égal et conforme à la loi.
Au cours du débat sur l’éducation, j’ai rappelé la priorité de rétablir l’autorité à l’école, et les mesures portées par Gabriel Attal quand il était ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse : « Dès le premier mot d’incivilité dans l’école, il faut des sanctions. Un barème de sanctions. » Aucun professeur ne devrait avoir la peur au ventre pour enseigner.
Lors de la soirée Face à Vous, j’ai rappelé une conviction claire : l’école doit redevenir un lieu d’exigence. Exigence dans les fondamentaux — français, maths, sciences, sport — et revalorisation du brevet et du baccalauréat. Exigence aussi de sécurité et d’autorité : apprendre le civisme, le respect, lutter contre le harcèlement et soutenir pleinement nos enseignants. Une école exigeante, c’est la condition pour assurer la réussite de chaque enfant.
