“Avec Violette Spillebout, pas de mauvaise surprise pour les électeurs : mêmes listes qu’au premier tour pour Violette Spillebout à Lille, Victoria Godefrood-Berra à Lomme et Florian Thieffry à Hellemmes”
Violette Spillebout, candidate aux élections municipales de Lille pour le collectif Faire Respirer Lille, a déposé ce vendredi 29 mai à la préfecture de Lille, sa liste pour le second tour du 28 juin, accompagnée des deux têtes de liste pour Lomme et Hellemmes, Victoria Godefrood-Berra et Florian Thieffry, qui ont fait de même.
Les 3 listes sont déposées symboliquement ensemble, et sont identiques à celles de premier tour. Pas de fusion donc, mais une conviction, celle que Faire Respirer Lille est la seule liste à pouvoir offrir à Lille l’alternance qu’elle mérite.
Les colistiers engagés sont les mêmes qu’au premier tour : avec Faire Respirer Lille, Hellemmes et Lomme, pas de mauvaise surprise pour les électeurs, ils savent en transparence qui sont les Maires et les personnalités pour lesquelles ils votent dès le début de l’élection municipale.
Lors du 1er tour, le 15 mars dernier, les Lillois, Hellemmois et Lommois ont été près de 18% à accorder leur confiance à Violette Spillebout.
C’est un très bon score, car c’est la première fois que Violette Spillebout se présente à une élection comme Victoria Godefrood-Berra et Florian Thieffry, et comme la grande majorité de ses colistiers.
“Les Lillois ne veulent plus du système Aubry et plus de 7 sur 10 l’ont exprimé très clairement lors du premier tour. Quant aux Verts, ils ont refusé notre main tendue, je le regrette, car nous avons beaucoup de points communs dans nos programmes sur l’écologie, les transports, la nature en ville”
“Avec les collectif Faire Respirer Lille, Lomme et Hellemmes et nos 126 colistiers, nous sommes restés solidaires pendant le confinement. Nous allons poursuivre nos actions sur le terrain, sur les marchés à votre rencontre pour dialoguer, échanger dans l’espace public, sur les réseaux sociaux, à votre écoute, et dans les respects des règles sanitaires”.
Violette Spillebout
