Il s’agit d’un dispositif qui porte à un an le délai de prescription pour les injures publiques et les diffamations envers des élus ou des candidats, mis en place par le Sénat et voté largement le 10 octobre dernier. Nous avons maintenu et précisé le dispositif pour en déterminer strictement le champ et éviter de bouleverser trop fortement l’équilibre de la loi de 1881.
PS : j’ai proposé au SNJ qui vient de me contacter sur ce point, de les auditionner en amont de la commission mixte paritaire pour entendre leurs propositions de modifications de la loi.