Mon intervention :
Oui, sur ces plusieurs amendements, on a des montants qui vont de 10 millions à 36 millions d’euros d’abondement des dispositifs pour le BAFA. Nous, on sera favorable à l’amendement numéro 524 de Madame Herouin-Léautey, qui est un peu plus raisonnable, on va dire, en termes de budget par rapport aux équilibres de cette mission.
Et pour une raison qui est que la totale gratuité du BAFA au regard des coûts d’organisation, des coûts de la formation, ne nous ne semble pas une bonne solution. Par contre, nous trouvons qu’il serait intéressant de regarder comment on peut mieux valoriser la validation des acquis professionnels des jeunes qui ont fait un service civique.
Pourquoi pas un jeune qui a fait un service civique quand il obtient son bilan par l’État et par Pôle emploi, enfin, France Travail maintenant, qu’il puisse accéder gratuitement au BAFA au regard des expériences qu’il a déjà montrées en termes d’implication et d’engagement.
Donc, c’est une piste de réflexion. Pour cette raison, nous voterons contre les deux deux premiers amendements et pour le dernier.
Je soutiens l’accès gratuit à la formation BAFA pour les jeunes en service civique
