Faire gagner le « progressisme municipal », installer 10 000 élus du mouvement présidentiel sur le territoire : c’est l’objectif des prochaines municipales qu’a fixé le patron de La République en marche Stanislas Guerini. Ce jeudi, LREM publie en ligne un recueil de 300 projets concrets collectés pendant plusieurs mois et qui dessinent le portrait du « maire En marche ».
Y aura-t-il une obligation de reprendre les projets ?
« Non. Mais je crois tellement à la puissance des propositions que je ne doute pas que des idées telles que le comité «zéro dépense inutile» porté par Violette Spillebout (composé d’élus et de citoyens pour identifier et réduire les dépenses superflues de la mairie), irriguent le programme de nos candidats. Ça n’aurait aucun sens d’appliquer un programme municipal venu d’en haut à l’ensemble des communes de France. Mais il y a un socle très clair de valeurs, d’engagement éthique sur la parité, la probité, le caractère inclusif des projets. Il y a aussi des incontournables. Sur le communautarisme par exemple car je ne veux pas que les élus soient isolés face à des questions telles que les horaires réservés dans les piscines. »