Mon combat pour le droit à la dignité et à la vie privée des élus se poursuit.
Je veux ici répondre à la dernière fanfaronnade et au vocabulaire violent (« raclée ») de Jacques Trentesaux, qui se permet d’écrire sur sa propre affaire judiciaire, dans son propre journal Médiacités, puis dans Médiapart, au mépris de toute déontologie journalistique.